City of Villains de Estelle Laure

Résumé :
Mary Elizabeth est une lycéenne comme les autres. À un détail près : après les cours, elle est en stage au poste de police central de Monarch City. Entre deux tas de paperasses, elle observe avec envie les agents lutter contre la criminalité. Depuis des années, les tensions s’accumulent entre l’élite aisée de la ville et les habitants de la Cicatrice, le quartier défavorisé où régnait autrefois la magie. Lorsque la fille de l’un des plus puissants hommes d’af-faires de Monarch disparaît, Mary Elizabeth est chargée de l’enquête et a enfin l’occasion de faire ses preuves. Mais cet enlèvement n’est que le début d’un mystère bien plus épais et sinistre. Au fil de l’enquête, la jeune fille sera prise dans le combat qui oppose ceux qui maniaient autrefois la magie et ceux qui seraient prêts à tout pour la retrouver. Quitte à engendrer des monstres…
Lorsque je commence un livre je n'y accorde pas d'attentes trop élevées pour ne pas être déçue . Mais souvent les réécritures Disney sont réussies et bien pas celle-ci que je n'ai pas aimé. C'est un premier tome mais je ne continuerais pas la suite pour annoncer la couleur directement. Ce n'est pas un mauvais livre en soi mais c'est un Disney sans l'être. Les méchants emblématiques sont présents et reconnaissable de par leur personnalité et la magie y est présente aussi mais ça manquait d'un truc. Une sorte de guerre qui n'a pas lieu d'être des humains lambdas/ enclavés et des humains qui autrefois avaient de la magie/ héritiers. C'est un cadre à la fois réaliste et plat avec une ville simple ou tout le monde cohabite avec des métiers classiques et des endroits vestiges de l'époque avec de la magie comme le pays des merveilles ou le jardin éternel. L'enquête policière ne me dérange pas sauf que l'issue est prévisible ainsi que la fin du tome. Le seul point positif et intéressant à développer est une amitié/ alliance entre les 'villains' puisque Ursula et James/ Crochet sont amis et que Maléfique se joints à eux mais ce n'est pas suffisants pour que je continue. Hachette vous me plaisez d'habitude mais là c'est sans moi.
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